Deux types d'enregistrement ont été effectués pour assurer la documentation du site archéologique.
A : un relevé assez rapide pour positionner les dolia entiers et les fragments, réalisé grâce à une ligne de base alpha-béta placée entre la coque et le dolium n°14, le plus éloigné, et avec l’aide d’une photomosaïque. Une série de mesures et les niveaux ont été également pris sur les deux dolia entiers et sur les fragments principaux. Dans ce cas, nous avons accepté une tolérance d’erreur assez élevée, de quelques centimètres. S’agissant d’éléments déplacés par le chalutage une tolérance d’erreur plus importante a été considéré comme acceptable.
A : un relevé assez rapide pour positionner les dolia entiers et les fragments, réalisé grâce à une ligne de base alpha-béta placée entre la coque et le dolium n°14, le plus éloigné, et avec l’aide d’une photomosaïque. Une série de mesures et les niveaux ont été également pris sur les deux dolia entiers et sur les fragments principaux. Dans ce cas, nous avons accepté une tolérance d’erreur assez élevée, de quelques centimètres. S’agissant d’éléments déplacés par le chalutage une tolérance d’erreur plus importante a été considéré comme acceptable.
B : un relevé précis au cm pour la zone de la coque, qui sera réalisé en conjuguant des « mesures traditionnelles » (cf. message sur les relevés en architecture navale du 25 juin dernier) et deux couvertures photographiques éventuellement exploitables pour réaliser une photogrammétrie du site.
Photo Arkaeos/DRASSM, T. Seguin